C’est à l’auberge Ravoux, près de la gare, que Vincent décide de s’installer.
D’après Adeline, la fille de l’aubergiste, Vincent était très ponctuel aux repas. Il partait le matin de bonne heure, revenait à midi, peignait un peu dans la remise, puis ressortait de nouveau.
A huit heures, il était de retour pour dîner, puis regagnait sa chambre pour lire ou écrire.

Contrairement à d’autres auberges, il ne se plaint pas de la nourriture et semble entretenir de très bonnes relations avec l’aubergiste, les clients et les autres artistes.

Ravoux ne semble pas connaître le passé de Vincent et le reçoit gentiment – le village a, depuis Daubigny l’habitude d’accueillir des peintres. Il l’autorise à peindre le portrait d’Adeline et sera désolé du suicide de Vincent. Il appelera à son chevet le Dr Gachet, puis le Dr Mazery, médecin du village et veillera Vincent une partie de la nuit.