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Sur un sol sablonneux,
les récoltes étaient maigres et nécessitaient beaucoup
d'engrais qui coûtaient cher... que les petits paysans n'avaient
souvent pas les moyens de les payer.
En 1853, la maladie de la pomme de terre a affecté à la
fois la quantité et la qualité des récoltes.
L'année suivante, la moitié de la récolte est perdue
et les paysans en étaient réduits à mendier dans
les grandes fermes.
Quelquefois menaçants, ils obtenaient un peu de seigle, d'avoine
et quelques vivres.
En 1857, un rapport indique qu'il n'y a plus de problèmes avec
cette maladie et que les récoltes sont bonnes.
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