Rencontré à
Paris en novembre 1886, on lui doit le plus beau portrait de Vincent.
Daprès Jo, ce serait aussi le plus ressemblant.
Habitué aussi de la boutique de Tanguy, cet excellent peintre restera
un ami sûr de Vincent. Il linvitera à venir le rejoindre quand
il est à Belle-Isle puis chez lui en août 1888, mais Vincent
est en Arles et attend Gauguin...