Augustina
Segatori
Ancien modèle,
elle est propriétaire du café-restaurant du tambourin
fréquenté par des artistes.
En Janvier 1887, une relation amoureuse de Vincent avec Augustina
Segatori est probable.
Au tambourin (où les tables sont en forme de tambourin) Vincent
accroche quelques unes de ses œuvres et organise le 22 mars
1887 une exposition d’estampes japonaises.
Même
si le bilan est décrit comme désastreux, Vincent a
obtenu de Bing, le marchand parisien d’art de l’Extrême-Orient
400 estampes en commission.
Cette première exposition d’estampes japonaises a entraîné
un puissant regain d’intérêt pour l’art
japonais au sein du milieu de l’atelier Cormon et dans le
mileu de l’art.
Probablement,
Augustina a posé pour Vincent.
Au printemps 1887, il montre ses tableaux de fleurs au Tambourin.
Fin
juillet :
I l se dispute avec Segatori (elle avait un souteneur ? - l'histoire
n'est pas claire) et probablement lui a laissé les œuvres
exposées.
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